Quelque part en France - L’encyclopédie interactive des villes et villages de France

Ce site constitue l’encyclopédie interactive des villes et villages de France. Son principe est d’offrir le visage de la France dessiné par ses habitants eux-mêmes.Son fonctionnement est donc double.Quelque part en France permet d’informer.Quelque part en France permet de s’informer.


 


Bar Le Duc
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 Histoire 
     
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  Nos ancêtres les Gaulois l'appelaient, dit-on, Caturiges. C'est au XIIème siècle que la ville du Duché Haute-Lorraine devient Bar-le-Duc avec, aussi, parfois l'appellation de Bar-sur-Ornain. Cette cité à deux niveaux installe sur son promontoire une forteresse puis un château et des remparts pour défendre le comté.

La ville basse, dès le XIVème, s'ouvre au commerce et à l'artisanat. L'aristocratie préfère la ville haute. La Collégiale Saint Pierre, aujourd'hui Eglise Saint Etienne, et la Tour de l'Horloge érigées à cette époque coiffent toujours la cité barisienne. La ville ducale eut une résonance forte au niveau culturel et industriel. Bar, ville de drapiers et de tisserands, connut un rayonnement dont l'apogée se situe sous la Renaissance.

L'histoire prend, sur les berges de l'Ornain, ses repères plusieurs fois; passage du Barrois à la Lorraine et enfin à la France.

Le pivot administratif de la Meuse sert pendant la grande déchirure, de 1914/18, de tête de pont pour la Voie sacrée qui occulte le numéro 35 de la R.N reliant Bar à Verdun.

Peu de cités ont donné le jour à autant de célébrités. Citons quelques noms Georges Bernanos, Pierre et Ernest Michaux inventeurs du pédalier et propagateurs du cyclisme, Rémy Exelmans, François de Guise, Raymond Poincaré… et tant d'autres."



 
 
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 Origine du nom 
     
     
  Quand la France, grâce à la Grande Révolution, cherchait des toponymes républicains le chef lieu de la Meuse s'appela Bar-sur-Ornain.

On peut regretter, pour cette agreste rivière, que ce nom n'ait pas su s'imposer.


 
 
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 Description Géographique 
     
     
  Le chef lieu de la Meuse, relativement épargné, intra-muros, par le traumatisme de 14/18, se mire dans l'Ornain.

Le cours d'eau, sur sa gauche, est appuyé du canal des usines et, sur sa droite, du canal de la Marne au Rhin.
Le GR n° 14 sectionne la cité traversée par la R.N n° 35, qui prend le nom de voie sacrée vers Verdun, la R.N n° 135 et les R.D 152 et 994.

La ligne de chemin de fer Paris-Strasbourg trouve, là, un relais de mi-parcours très fréquenté.

Le périmètre barisien ponctue divers bois; le Haut-Juré mais, aussi, la Foret de Massonge.

Le tertiaire, chef lieu de département oblige, s'impose dans cette ville où les "Bergères de France" ont tissé des liens, de laine, avec bien des chaumières de l'Hexagone.

La fonderie de l'Ornain a cédé son espace à plusieurs espaces commerciaux.



 
 
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 Personnages célèbres 
     
     
  Georges Victor Marcel Moinaux, dit Courteline, (25/6/1858 Tours- 25/6/1929 inhumé au Père Lachaise) laisse une oeuvre immense.
Il passe pour paresseux, et, malgré l'éducation rigoureuse voulue par son père, échoue au baccalauréat mais fait fort bien la fête.
Il connaît, quelques mois, l'absurdité perverse et béotienne de la discipline militaire sur les rives de l'Ornain, à Bar-le-Duc, et ce séjour lui inspire "le train de 8 h 47" et, surtout, " les gaîtés de l'escadron".

Les qualités de sa plume lui valent d'être admis à l'Académie Goncourt et de recevoir la Légion d'Honneur.

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Divers autres personnages marquants. [Source "Ville de Bar-le-Duc].

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Charles AIMOND (1874-1968)
Né à Varennes-en-Argonne en 1874, issu d’une famille de cultivateurs, Charles Aimond se plaisait à répéter que son arrière grand-père, à l’âge de sept ans, avait assisté à l’arrestation de Louis XVI. Sa scolarité primaire terminée, il entre au petit séminaire de Glorieux et obtient le diplôme de licencié ès-lettres après une seule année d’études en Sorbonne. Ordonné prêtre en juin 1898, il professe au petit séminaire de Glorieux, puis à l’école Saint-Louis de Bar-le-Duc. Il restera Barisien jusqu’à la fin de ses jours. Supérieur de l’école Saint-Louis, "le prêtre historien" consacre une grande partie de sa vie à l’histoire de la Lorraine et en particulier celle de la Meuse et du Barrois. Docteur ès-lettres en 1910, Le prélat Charles Aimond aura rédigé quelques 30 000 pages, dont l’érudition et la finesse ont fait de lui l’historien toujours incontesté de la Meuse et de Bar-le-Duc. Grand prix de l’Académie Stanislas en 1956, Charles Aimond mourut le 28 juin 1968 à Bar-le-Duc, à l’âge de 94 ans.

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Georges BERNANOS (1888-1948)

C'est dans une maison du quartier Renaissance (au 47 rue des Ducs) qu'il rédigea sa première oeuvre Sous le soleil de Satan, entre 1924 et 1926

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Ernest BRADFER (1833-1882)

Ernest Bradfer est né à Nantois et suivit ses études à Nancy, Bar-le-Duc, Paris puis Strasbourg. Ce maître de forge créa la société Bradfer & Fils en 1866 et acheta ensuite les mines de Maron (Meurthe et Moselle). Il s'associa à Antoine Durenne dix ans après pour mettre en place la société Bradfer & Fils et Cie. Elu deux fois conseiller municipal, il est nominé Maire de Bar-le-Duc par décret en 1879 et son poste sera reconduit à l'unanimité.Une statue lui est dédiée et la rue de Ligny est renommée rue Ernest Bradfer en 1883. Son père, Jean-Baptiste Bradfer (1808-1888), a fait construire l’école nommée aujourd’hui Ecole Bradfer/Saint Jean-Baptiste, en mémoire de son fils.

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Albert CIM (1845-1924)

Fils d'un officier polonais et d'une mère française, Albert Cimochowski naquit à Bar-le-Duc en 1845. Il fut fonctionnaire des Postes et des Télégraphes à Paris, mais son activité d'homme de lettres lui valu d'être cinq fois lauréat de l'Académie Française. Il resta très attaché à sa ville natale qu'il évoqua dans plusieurs de ses écrits.

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Albert CIM (1845-1924)

Fils d'un officier polonais et d'une mère française, Albert Cimochowski naquit à Bar-le-Duc en 1845. Il fut fonctionnaire des Postes et des Télégraphes à Paris, mais son activité d'homme de lettres lui valu d'être cinq fois lauréat de l'Académie Française. Il resta très attaché à sa ville natale qu'il évoqua dans plusieurs de ses écrits.


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Jean DRIES (1905-1976)

Jean Driesbach dit Dries est né à Bar-le-Duc le 19 octobre 1905. Après des études au lycée il se consacre à la peinture, encouragé par les graveurs Lemagny et Salzy. En1926, grâce à une bourse, il va étudier la peinture dans l’atelier de L. Simon. Puis il découvre grâce à des voyages, les lumières de Provence, d’Espagne et de Normandie. Il traverse les courants de la peinture abstraite sans y adhérer. « L’abstraction n’est pas mon affaire », écrit-il, avec, durant toute sa vie, un grand respect pour le sujet en faisant preuve d’une connaissance profonde de la nature, donc de l’homme. Coloriste doué d’une vigoureuse personnalité et travailleur acharné, il s’éteint à Paris le 26 février 1976.



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Jean ERRARD (1554-1610)

Barisien ingénieur en fortifications, Jean Errard entra au service du Duc de Bar et de Lorraine Charles III. Converti au protestantisme, il passa au service du Duc de Bouillon, prince de Sedan. Par la suite, il devint Grand Ingénieur du roi Henri IV et Grand Maître de l'artillerie royale.



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Rémy-Joseph EXELMANS (1775-1852)

Dès 1791, Exelmans servit sous les ordres d'Oudinot dans le 3ème Bataillon des Volontaires de la Meuse. Sa fidélité indéfectible à Napoléon Ier lui valut d'être exilé après l'échec des Cent jours. Rentré en France en 1819, il devint Pair de France en 1831, puis, à l'initiative du Prince-Président, il fut nommé grand chancelier de la Légion d'Honneur (en 1849) et Maréchal de France (en 1851).



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Pierre-François GOSSIN (1753-1794)

Ce meusien originaire de Souilly mais résidant à Bar-le-Duc, joua un grand rôle pendant la Révolution, notamment dans la création des départements. Pendant la Terreur, son "manque de civisme" lui fut reproché. Le 22 juillet, la Convention le condamna à mort. Il fut guillotiné le jour même.



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Wlodimir KONARSKI (1852-1906)

Fls d’un officier polonais émigré en France après la révolution de 1830, Wodimir Konarski, né à Auxerre le 24 juin 1852, fait des études de droit, à la suite desquelles il est nommé conseiller de préfecture à Bar-le-Duc, son premier et son dernier poste. Il consacre tout son temps au dépouillement des archives de Bar-le-Duc et publie de nombreux articles illustrés par lui-même d’eaux-fortes et de dessins à la plume. L’essentiel de son œuvre fut rassemblé après sa mort en deux gros volumes publiés par souscription publique : A travers le vieux Bar-le-Duc.



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LIGIER-RICHIER (1500-1567)

Né à Saint Mihiel, Ligier Richier fut l'un des plus grands sculpteurs de la Renaissance française. Il oeuvra pour les Ducs de Bar et les membres de la cour puis, converti au protestantisme, il quitta le duché pour Genève. Son chef d'oeuvre, le Monument de coeur de René de Chalon, plus communément appelé le Squelette ou le Transi est visible dans l'église Saint-Etienne de la ville.



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Léon MAXE-WERLY (1831-1901)

Né à Bar-le-Duc le 4 novembre 1831 et petit fils de Jean Werly, l’inventeur du corset sans coutures qui apporta à Bar-le-Duc une prospérité indéniable, Léon Maxe prend part tout d’abord aux activités professionnelles des siens. Il s’en libère dès que possible. Passionné par tout ce qui touche au passé du Barrois, il consacre tout son temps libre aux études archéologiques locales et à la numismatique. Son goût pour la recherche et ses dons d’observation et de classification méthodique lui permettent d’effectuer un travail scientifique qui sert encore souvent de référence. Il est mort à Paris le 17 octobre 1901. Il avait joint à son nom patronymique celui de sa mère. Il a légué à la Bibliothèque municipale l’ensemble de ses collections, de monnaie notamment, et sa propre et riche bibliothèque.



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Pierre et Ernest MICHAUX (1813-1883 et 1842-1882)

Pierre Michaux et son fils Ernest, tout deux barisiens de naissance, sont les inventeurs du vélocipède à pédales. L'invention assura un temps le succès de l'entreprise familiale avant qu'elle ne périclite. Toutefois la mémoire des deux hommes est encore honorée à Bar-le-Duc où un monument en leur honneur fut inauguré en 1894.



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Nicolas-Charles OUDINOT (1767-1847)

La carrière militaire de cet enfant de Bar-le-Duc fut exceptionnelle. A la suite de son action à la bataille de Wagram, il obtint les titres de Duc de Reggio et de Maréchal. Sa neutralité pendant les Cent jours lui permit d'être l'un des grands dignitaires du royaume sous la Restauration. Il devint alors pair de France, Gouverneur des Invalides et Grand Chancelier de la Légion d'Honneur.



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Raymond POINCARE (1860-1934)

Né à Bar-le-Duc en 1860, Raymond Poincaré entama très tôt une carrière politique, parallèlement à son activité d'avocat. Député de la Meuse, plusieurs fois Ministre, puis Président de la République de 1913 à 1920, il assura ses responsabilités avec dignité pendant la Première Guerre Mondiale. Sa carrière publique dura jusqu'en 1929, lorsque la maladie le poussa à se retirer de la scène politique.



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André THEURIET (1833-1907)

Ce fonctionnaire et homme de lettres, entré à l'Académie française en 1896, passa son enfance à Bar-le-Duc. Il évoqua volontiers le pays de sa jeunesse dans plusieurs de ses écrits, comme La Chanoinesse ou la Maison des deux barbeaux.

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 Divers 
     
     
  J'ai traversé Bar-le-Duc, dans la rigueur, très fraîche, de décembre 1962, un peu comme un Parisien traverse la Beauce pour se diriger vers les Gorges du Tarn.

Le service militaire m'impose, le 5 mai 1964, les rives de l'Ornain pour découvrir la "Grande Muette" et mon esprit, autant rebelle que pacifiste, ne prédisposait pas, du tout, l'Occitan que je suis à apprécier une ville où je n'avais pas le choix de refuser un séjour bimestriel; somme toute supportable.

Je retiens même le nom de quelques personnages, à mon sens profondément humains, qui, à leur modeste niveau, s'ils avaient pu susciter une légion d'adeptes auraient certainement donné, à une structure, peu incitative au demeurant, une perception positive des servitudes militaires des appelés du contingent. Il s'agit du commandant Renard, du capitaine Gros et de l'adjudant Faure; grades qu'ils avaient au printemps 1964. Si, par un extrême hasard, ils découvrent directement, ou indirectement, ces lignes qu'ils sachent que j'aurais un immense plaisir de les rencontrer.

La cité barisienne aurait évidemment mérité d'être connue au-delà du périmètre du quartier Oudinot, lieu imposé, et de sa gare, lieu privilégié de la sortie de ce décor lorrain. La campagne, dont la colline Ste Catherine, les reliefs dominant Savonnières, le Bois du Haut-Juré où l'on devait se rendre au champ de tir, nous livrait de superbes espaces bucoliques que l'urbanisation a, signe des temps, depuis, déflorés.

Le chef lieu meusien c'est aussi une ville hautement chargée d'histoire où l'architecture se pare de merveilleux atours. Rares sont les villes qui peuvent additionner un listage de monuments aussi important. Citons la Tour de l'Horloge, la Porte romaine, le Collège Gilles de Trèves, le Pont Notre Dame, le temple protestant, la synagogue, les églises St Jean et St Etienne. N'oublions pas le Pressoir du XVème ni les anciennes maisons et hôtels particuliers qui, de nos jours, abritent des services publics.

En 1942 Mac Arthur, désavoué dans le Sud-Est asiatique, aurait dit: "I shall return". J'espère, de tout cœur, que "je reviendrai" à Bar-le-Duc pour me laisser conter une ville par un guide conférencier sachant, avec une pédagogie captivante, faire apprécier un bijou qui, dans son écrin collinaire du creuset du Val d'Ornain, mérite autre chose qu'un coup d'œil furtif ou imposé.




 
 
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 Rédacteur 
     
     
  Pierre FABRE

05 53 29 07 50

E-Mail: pierrefabre@infonie.fr

Rédacteur libre.

Diverses fiches amorcées et présentes sur le site concernent des villages meusiens disparus lors de la Première Guerre mondiale:
Beaumont-en-Verdunois, Bezonveaux, Cumières, Fleury-devant-Douaumont, Haumont-près-Samogneux, Louvemont-Côte-du-Poivre, Ornes et Vaux-devant-Damloup .

Bien d'autres localités figurent dans le listage des communes découvertes par le site. Le chantier, par essence, reste et restera toujours inachevé.




Les internautes qui découvriraient des erreurs, des imperfections ou des omissions seront, naturellement, les bienvenus s'ils me font part de leurs remarques.

Contact: pierrefabre@infonie.fr

Pierre FABRE gère aussi les localités suivantes :
Reillanne - Drap - Gattieres - Vireux Molhain - Marseille - Arles - Aubagne - Martigues - Dives Sur Mer - Perigueux - Bergerac - Creysse - La Force - St Capraise De Lalinde - Lanquais - St Germain De Belves - Belves - Sagelat - Siorac En Perigord - Ste Foy De Belves - Larzac - St Laurent La Vallée - Doissat - Monplaisant - Carves - St Pompon - Grives - Salles De Belves - St Amand De Belves - Cladech - St Pardoux Et Vielvic - Sarlat La Caneda - Veyrines De Domme - Domme - Le Bugue - Journiac - Mauzens Et Miremont - Campagne - Cazoules - Savignac Les églises - Montferrand Du Perigord - St Avit Senieur - Bouillac - Le Buisson De Cadouin - Limeuil - Pezuls - Capdrot - Monpazier - Mazeyrolles - Besse - Loubejac - Prats Du Périgord - Villefranche Du Perigord - St Cernin De L'Herm - Salignac Eyvignes - Boulazac - Gisors - Fources - Valence Sur Baïse - Castelmoron D'Albret - Agen - St Front Sur Lemance - Cuzorn - Condezaygues - Sauveterre La Lemance - Le Pont De Montvert - St Germain De Calberte - Florac - Toul - Bar Le Duc - Beaumont-en-Verdunois - Fleury Devant Douaumont - Haumont Pres Samogneux - Samogneux - Louvemont Cote Du Poivre - Cumieres Le Mort Homme - Verdun - Bezonvaux - Ornes - Vaux Devant Damloup - Hennebont - Dives - Calais - St Omer - Capvern - Aurensan - Soues - Bazet - Strasbourg - Lyon - Venissieux - Paris - Le Treport - Veules Les Roses - Friville Escarbotin - Conteville - Ault - Entraigues Sur Sorgue - Joncherey - St Denis - Ivry Sur Seine - Vitry Sur Seine - Asnières Sur Oise 


 
 
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Auteur de la fiche "Bar Le Duc" : Pierre FABRE
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    Quelque part en France 2002-2008  
 


France > Lorraine > Meuse > Bar Le Duc (55000)
Nb d'habitants    18079 
Superficie (hectares)    2362 
Densité (h/km²)    765 
Altitude (en mètres)    240 m (pour le quartier de la Ville-basse). 
Nom des habitants    Barisiens.