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Monsieur Le Maire d’Equihen Christian FOURCROY interviwé par la VOIX DU NORD du 27 mai 2009 Cinquante logements seront créés dans les cinq ans pour les Équihennois · Il y a un an, Christian Fourcroy rempilait à la tête de la commune. Depuis, les projets ne manquent pas. Ce sont les travaux de voirie qui occupent actuellement la mairie, avant la création d'une cinquantaine de logements. > Quels projets ont vu le jour depuis l'élection municipale, il y a un an ? « On est actuellement en train de refaire toute la rue Cazin, on renouvelle l'assainissement, les eaux usées, on change les conduites d'eau potable, on enterre les réseaux... Le vent ne devrait donc plus jamais provoquer de coupures d'électricité. Tout cela a commencé en mars et devrait prendre fin en juin. On vient également de faire "tomber" la salle paroissiale pour créer une "place de vie" pour des foires, spectacles etc. Ce type de lieu manquait ici. Le terrain d'entraînement pour les footballeurs est aussi en cours de réalisation, l'aire de camping-cars a été améliorée (eau, électricité...) et les réseaux des rues Abbé-Coppin et rue du Beurre-fondu sont en train d'être mis en souterrain. » > Et côté projets, que reste-t-il à mener d'ici la fin du mandat ? « On va essayer de construire une cinquantaine de logements accessibles à tous sur le terrain de la Planquette et paroissial (location et accession à la propriété). C'est important que les Équihennois puissent rester sur leur commune et de conserver les commerçants. Ensuite, on aura peut-être d'autres projets de lotissements, mais rien de concret pour le moment. » > Avez-vous rencontré des soucis depuis votre dernière élection ? « Mon problème principal concerne les eaux de baignade. On a été trois fois pavillon bleu mais, depuis trois ans, on est classé en catégorie B, ce qui m'inquiète. Il faudra certainement que je finisse par me fâcher avec le syndicat intercommunal de Pont-de-Briques. D'autant plus que cela joue sur le tourisme qui est une des ressources principales de la commune. • VIRGINIE ÉNÉE Equihen : la bombe américaine désactivée présentait toujours un danger jeudi 04.06.2009 - La Voix du Nord Christophe Reyne, démineur, devant la «bête» de 250 kilos qui était toujours active. | ÉVACUATION | Hier, les démineurs de la Sécurité civile ont désamorcé une bombe américaine retrouvée la semaine dernière sur un chantier à Équihen-Plage. La munition, toujours active, était équipée de détonateurs en mauvais état. La mission était donc risquée. PAR OLIVIER MERLIN Les mensurations de l'américaine sont à faire pâlir de jalousie son homologue anglaise. Près d'1,20 mètre de longueur pour 41 centimètres de rayon, 250 kilos au total dont 125 kilos rien que pour l'explosif. La bombe, retrouvée la semaine dernière sur un chantier de la rue Abbé-Coppin à Équihen-Plage, a été désamorcée hier aux alentours de 11 h 30. Les démineurs de la Sécurité civile, basés à Arras, ont mis un peu moins d'une heure et demie pour venir à bout de la munition qui était toujours active. La bombe présentait aussi quelques signes inquiétants. « Les deux détonateurs, celui placé à l'avant et celui placé à l'arrière, étaient dégradés, explique Christophe Reyne, chef de mission. L'avant avait été cisaillé soit lors de l'impact au sol pendant la guerre soit à cause du coup de pelleteuse. » Les détonateurs ont présenté des difficultés lors du dévissage. « La bombe étant toujours active, il est possible que des complications se produisent lors du dévissage voire qu'elle explose. » Heureusement, tout s'est bien passé au grand soulagement des 20 gendarmes commandés par le lieutenant Palmer Vandevelde et du maire Christian Fourcroy, qui avait ouvert un PC de crise à la mairie où des membres du SAMU ou d'EDF avaient pris place. Dans la salle des fêtes mitoyenne, une vingtaine d'habitants, sur les 350 évacués, patientent en buvant un café. L'attente n'aura pas duré très longtemps, mais pourrait se reproduire à l'avenir si les chantiers se multiplient. Equihen a été pilonné lors de la dernière guerre et des maisons sont sans doute construites sur des bombes. • RAPPEL DES FAITS La bombe de 250 kilos, retrouvée mercredi dans un chantier à Equihen-Plage, sera neutralisée mercredi matin. Les modalités du déminage ont été arrêtées hier matin lors d'une réunion présidée par le sous-préfet Hervé Malherbe. Un périmètre de 400 mètres autour de la rue de l'Abbé-Coppin, où a été retrouvée la munition datant de la Seconde Guerre mondiale, sera mis en place dès 8h. À 10 h, au début du déminage, les 350 habitants du périmètre devront avoir quitté leur logement. Ils pourront s'ils le souhaitent rejoindre la salle polyvalente ouverte pour l'occasion. Le PC sécurité sera établi en mairie. Pendant la période du déminage, le survol et la navigation à proximité directe de la bombe seront interdits. Rappel des faits.... Mercredi vers 9 h 30, une équipe d'ouvriers belges de la région de Gand travaillait sur le terrassement d'une futur villa à Équihen-Plage quand leur petite pelleteuse est tombée sur quelque chose de dur. « On a cru que c'était un caillou,raconte un ouvrier, avant de comprendre qu'il s'agissait d'un ancien engin de guerre. » Aussitôt, ils ont prévenu le propriétaire en Belgique qui s'est empressé d'alerter « le bourgmestre ». « Il m'a dit qu'on avait trouvé un obus sur le chantier, ajoute Christian Fourcroy, le maire. Je lui ai demandé de quel taille. Quand il m'a répondu 1,20 m, je lui ai dit qu'il s'agissait d'une bombe. » Plus tard, en début d'après-midi, deux démineurs de la Sécurité civile de Calais sont venus voir l'engin. Pendant leurs manipulations, la rue a dû être fermée dans les deux sens par précaution. Des ouvriers belges qui travaillaient sur le terrassement d'une maison à l'entrée du village d'Équihen-Plage, ont découvert une bombe de 500 livres datant de la Seconde Guerre mondiale. Mercredi 27 mai 2009 vers 9 h 30, une équipe d'ouvriers belges de la région de Gand travaillait sur le terrassement d'une futur villa à Équihen-Plage quand leur petite pelleteuse est tombée sur quelque chose de dur. « On a cru que c'était un caillou,raconte un ouvrier, avant de comprendre qu'il s'agissait d'un ancien engin de guerre. » Aussitôt, ils ont prévenu le propriétaire en Belgique qui s'est empressé d'alerter « le bourgmestre ». « Il m'a dit qu'on avait trouvé un obus sur le chantier, ajoute Christian Fourcroy, le maire. Je lui ai demandé de quel taille. Quand il m'a répondu 1,20 m, je lui ai dit qu'il s'agissait d'une bombe. » Plus tard, en début d'après-midi, deux démineurs de la Sécurité civile de Calais sont venus voir l'engin. Pendant leurs manipulations, la rue a dû être fermée dans les deux sens par précaution. Déminage mardi prochain Finalement, ces spécialistes des engins explosifs ont décidé qu'il fallait programmer une opération de déminage compte tenu de l'état de la bombe. Cette manipulation délicate nécessitera l'évacuation de quelques maisons riveraines. L'opération devrait avoir lieu mardi et ses modalités seront précisées aujourd'hui en sous-préfecture. En attendant, l'engin a été recouvert de terre et l'endroit placé sous surveillance. • FRÉDÉRIC VAILLANT Il y a un an, Christian Fourcroy rempilait à la tête de la commune. Depuis, les projets ne manquent pas. Ce sont les travaux de voirie qui occupent actuellement la mairie, avant la création d'une cinquantaine de logements. > Quels projets ont vu le jour depuis l'élection municipale, il y a un an ? « On est actuellement en train de refaire toute la rue Cazin, on renouvelle l'assainissement, les eaux usées, on change les conduites d'eau potable, on enterre les réseaux... Le vent ne devrait donc plus jamais provoquer de coupures d'électricité. Tout cela a commencé en mars et devrait prendre fin en juin. On vient également de faire "tomber" la salle paroissiale pour créer une "place de vie" pour des foires, spectacles etc. Ce type de lieu manquait ici. Le terrain d'entraînement pour les footballeurs est aussi en cours de réalisation, l'aire de camping-cars a été améliorée (eau, électricité...) et les réseaux des rues Abbé-Coppin et rue du Beurre-fondu sont en train d'être mis en souterrain. » > Et côté projets, que reste-t-il à mener d'ici la fin du mandat ? « On va essayer de construire une cinquantaine de logements accessibles à tous sur le terrain de la Planquette et paroissial (location et accession à la propriété). C'est important que les Équihennois puissent rester sur leur commune et de conserver les commerçants. Ensuite, on aura peut-être d'autres projets de lotissements, mais rien de concret pour le moment. » > Avez-vous rencontré des soucis depuis votre dernière élection ? « Mon problème principal concerne les eaux de baignade. On a été trois fois pavillon bleu mais, depuis trois ans, on est classé en catégorie B, ce qui m'inquiète. Il faudra certainement que je finisse par me fâcher avec le syndicat intercommunal de Pont-de-Briques. D'autant plus que cela joue sur le tourisme qui est une des ressources principales de la commune. • VIRGINIE ÉNÉE |
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vendredi 22.05.2009 - La Voix du Nord
·À Équihen-Plage, les quilles en l'air ont le vent en poupe Jeudi, on pouvait visiter les quilles en l'air du camping La Falaise à Équihen-Plage. | TRADITION | Victimes de leur succès, deux nouvelles coques de flobards retournées viendront s'ajouter aux cinq déjà existantes du camping municipal d'Équihen-Plage. À l'automne, une huitième sera à son tour installée. Roger, un Portelois de 76 ans s'en souvient parfaitement : « Quand j'étais petit, on venait souvent à pied à Équihen pendant les vacances avec les copains. On voyait ce quartier de pêcheurs le long de la falaise. C'était assez triste, on aurait dit des taudis... Alors, ça a changé, c'est sûr, mais en bien ! » Comme des dizaines de curieux, Roger profitait jeudi de la journée porte ouverte des « quilles en l'air » du camping équihennois, ces anciens bateaux de pêcheurs retournés transformés en coquettes locations pour vacanciers. Ancien bidonville À l'origine pourtant, habiter dans une barque retournée n'avait rien de flamboyant : « À la fin du 18e siècle, les marins les plus pauvres ont eu l'idée de récupérer les vieilles barques que leurs patrons acceptaient de leur laisser pour s'en faire des maisons », explique Bertrand Hodicq, adjoint à la communication à la mairie. « Ils piquaient la quille dans la falaise et calfeutraient le trou entre la coque et le sol avec des pierres, du bois... C'était un quartier bidonville. » Ces habitations de fortune comportaient une pièce unique, mais ont permis à de nombreuses familles de dormir à l'abri. Puis sont arrivés les bateaux à moteur. Et pire : la guerre et ses bombardements, qui ont détruit tous les logements. Puis dans les années 90, la mairie « à l'idée de récupérer quatre bateaux pour faire revivre cette page d'histoire », poursuit Bertand Hodicq. Un architecte accepte de s'emparer du projet et les deux premières quilles en l'air sont livrées au camping en 1995, sur la falaise face à la mer. Huit quilles en l'air « Et comme le public était demandeur, on a en fait quatre autres », poursuit-il, Puis encore deux nouvelles, qui seront fin prêtes pour l'été. « Une dernière sera enfin installée à l'automne, les travaux seront menés par un chantier école. » Chacune des « maisonnettes » mesure 10 à 12 mètres de long ont été aménagées pour accueillir 2 à 5 personnes tout en respectant la forme de la coque. Cela donne des idées aux curieux qui étaient nombreux hier à visiter les lieux. « On n'avait jamais vu ça, c'est très joli, original et la vue et magnifique », s'extasient Jacques et Christiane, un couple de Douaisiens qui se verrait bien louer une quille en l'air pour ses prochaines vacances... Mais il faut se presser, le carnet de réservation est déjà bien chargé. • VIRGINIE ÉNÉE > Camping La falaise à Équihen-Plage, tél. 03 21 31 22 61. Tarifs : de 270 à 600 E la semaine, en fonction du nombre de personnes et de la période. |
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Jusqu'en 1939 Equihen-Plage était un hameau d'Outreau 62.230 ;
les habitants vivaient principalement de la pêche. Ce Hameau, avec sa côté sauvge qui lui donne tout son charme, a c'est vrai ce " quelque chose bien a lui " qui tout de suite vous inspire et vous transporte dans le voyage de la rêverie. Il n'est donc pas étonnant que tant d'artitstes peintres et autres y soient venus. De merveilleuses toiles ont été réalisées. Voir la rubrique personnages célèbres |
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Gil FRANCO ( peintre ) habita Equihen Plage
CINTREUIL(Peintre), DEBRASSE, DEMIZEL, Jean Charles CAIN, Edmont DE PALEZIEUX et son neveu Pierre. Dominique BONNAUD(poète). André GALOPET dit GABRIELLO chanteur et acteur. Philippe Auguste JEANRON. Louis Antoine LECLERCQ ( Peintre ) LENE ( Peintre ). Le poète Stéphane MALLARME vint en 1875 durant un mois sur les conseils de MANET qui aimait Equihen. Gaston MOLIERE peintre méconnu malgré son talent Jules NOEL ( Peintre ). PERRAULT Jean Baptiste Antoine Guillemet : un peintre dont le passage et ses toiles sur Equihen ne sont pas trop connus : Jean Baptiste Antoine Guillemet, né à Chantilly le 30 juin 1841 et mort en Dordogne en 1918, est un peintre paysagiste français de style impressionniste. Il suit les cours dispensés à La Pension Savary à Passy. Son goût pour la littérature et la peinture provient vraisemblablement de cet enseignement. Il rêve depuis sa plus tendre enfance de devenir marin, souhait auquel s’opposent vivement ses parents. Il étudie alors, sans aucun enthousiasme, le Droit. Manifestant un amour de plus en plus prononcé pour la peinture, le Directeur des Musées lui commande, en 1858, une copie, grandeur nature, du Radeau de la Méduse de Géricault. Au décès de sa mère en 1861, Antoine Guillemet se trouve alors dans une situation financière beaucoup plus confortable, ce qui lui permet de poursuivre son amour de la peinture sans négliger pour autant ses autres passions que sont la voile, le canoë et l’aviron Ses tableaux sur Equihen : - La falaise d'Equihen 1er quart du du 20ème siècle millésime 1905 daté et signé 1905 ; description falaise, calvaire, monument et nuage ; le tableau se trouve au musée des Augustins à Toulouse. - Soirée au dessus des dunes d'Equihen : 1er quart du 20ème siècle; millésime avant 1916. Hauteur 88,5 et largeur 130,5 Cm. Lieu de conservation musée d'Orsay à Paris; -LES ROCHERS D'EQUIHEN ; millésime 1910, sujet représenté falaise, rochers, chemins et personnages . Mesure du tableau largeur 200 sur 130,5. Ce tableau est exposé au musée des Beaux Arts à Rouen |
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Dimanche 7 juin aura lieu la braderie d'Equihen plage
Equihen-plage.- Rue Charles-Cazin, dimanche, de 6 h à 20 h |
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A DECOUVRIR ET A LIRE
Carnets d'enfance d'Equihen dans les années 50.- Par Denis Tisserand. |
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Pascal BERNARD gère aussi les localités suivantes : Champ Du Boult - Equihen Plage - Outreau - Le Portel |
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Auteur de la fiche "Equihen Plage" : Pascal BERNARD | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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France > Nord-Pas-De-Calais > Pas-de-Calais > Equihen Plage (62224) |
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Nb d'habitants | 2957 (2007) |
Superficie (hectares) | 3,81 km2 |
Coordonnées Géographiques (latitude;longitude) | latitude 50° 40'40'' nord Longitude 01° 34' 24'' est |
Altitude (en mètres) | o mètre (minimum) 96 mètres maximum |
Nom des habitants | Les Equihennoises et les Equihennois |