|
|
|
|
|
|
-210 millions d'années avant JC, le plus ancien dinosaure connu en France meurt au bord d'une lagune, qui est l'actuel quartier de la Marjorie. Vers 4000 avant JC, il y a une présence humaine en région lédonienne. Vers 500 avant JC, la colline de Montmorot est habitée. 1er siècle avant JC, traces d'occupation humaine dans le quartier de l'actuel office du tourisme (monnaies en bronze retrouvées). En 414 après JC, Saint Désiré meurt à Lons le Saunier. En 1536, Lons connaît un grand incendie qui ravage toute la ville. La ville sera à nouveau détruite en 1595 (par un autre incendie) et en 1637 (3ème guerre de conquête). Lons devient Chef-lieu du département du Jura en 1790. En 1901, incendie au théâtre (qui fut construit en 1845). Il ne sera entièrement restauré qu'en 1997. Le 25 août 1944, Lons est libérée.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
L'origine du nom de Lons le Saunier est double : celtique et romaine. La ville portait le nom celte de Ledo (lons) et les romains ajoutèrent le nom de Salinarius (en références aux salines et eaux thermales), qui devient Saunier plusieurs siècles plus tard.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Eglise Saint Désiré : Fleuron de l'art roman, datant des années 1080. L'histoire de cette église est indissociable du culte voué à Saint désiré (évêque du 5ème siècle), qui fut inhumé en 414 dans la crypte de l'église.
L'église des Cordeliers : elle fut élevée à l'origine, au 13ème siècle, mais suite aux divers incendies, elle fut quasiment entièrement refaite au 18ème siècle. A l'intérieur, trois ensembles mobiliers sont classés Monuments Historiques (la chaire, les grandes orgues et les stalles du choeur). La crypte sert actuellement de sépulture à la famille de Chalon, qui étaient de puissants seigneurs de la ville au Moyen Age.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
La ville de Lons-le-Saunier, située à une altitude moyenne de 260 m, est entourée de plusieurs buttes isolées :
Au Sud, l'altitude de la côte de Montaigu, du Mont des Tartres et de la côte de manche dépasse 418 m.
A l'ouest, la côte Montciel culmine à 373 m. L'altitude des hauteurs de Montmorot, Pymont et Chille varie de 328 à 390 m.
Lons-le-Saunier est située au débouché de la reculée de la Vallière, une reculée parmi tant d'autres qui entaillent la bordure occidentale du Premier Plateau ou Plateau de Lons-le-Saunier. Comme les reculées de Baume-les-Messieurs, Poligny, les Planches-près-d'Arbois et Salins, la reculée de Conliège - Lons-le-Saunier coïncide avec les limites des glaciers qui recouvraient le Jura au Riss.
La reculée est une gorge assez courte, de quelques kilomètres au plus, et se terminant vers l'amont par un cirque dans des stratres calcaires à parois verticales et dans des couches marneuses faisant talus. Elle sont en rapport avec un accident tectonique, faille ou pli.
Lons Le Saunier, possède trois sources thermales : eau salée, eau sulfureuse et eau ferrugineuse.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Rouget de Lisle : Né à Lons le saunier en 1760, il composa en 1792 le chant "chant de guerre pour l'armée du Rhin", qui fut rebaptisé en août 1792. Ce chant est connu aujourd'hui, sous le nom de "la Marseillaise".
Bernard Clavel : Auteur contemporain né en 1929 à Lons le saunier, Bernard Clavel est resté très attaché à sa ville natale. La grande majorité de ses oeuvres se situe en Franche Comté.
Jean Amadou : Le grand humoriste, chansonnier, chroniqueur sur Europe 1, écrivain... est né en 1929 à Lons le saunier.
Paul Emile Victor : Il n'est pas né à Lons (mais à Genève en 1907). Par contre, il fit ses études primaires et secondaires à Lons le saunier avant d'entreprendre ses grandes expéditions polaires.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Sandrine GUGGER gère aussi les localités suivantes : Dijon - Longvic - Lons Le Saunier - Montigny Les Cormeilles
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Administratif |
|
|
|
|
|
PELISSARD Jacques
|
|
|
|
|
|
| |
|
|
|
Auteur de la fiche "Lons Le Saunier" : Sandrine GUGGER |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Quelque part en France 2002-2008 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|