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| Actualité | ||
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CHAMBORIGAUD, village cévenol, terre de liberté, est une halte reposante sur la route des Arvernes, antique voie Régordane qui conduisait d'Alès au Puy et au-delà.
A 28 km d'Alès, au pied du Mont Lozère, Le Luech qui baigne la cité, offre outre sa belle et verdoyante vallée, de très agréables possibilités de baignade.
Un magnifique Viaduc construit en 1867 fait la renommée et la beauté de la ligne SNCF.
Des festivités diverses sont organisées toute l'année par les associations locales actives.
L'accueil est de première qualité.
Trois restaurants et une pizzéria, trois hôtels et des gîtes ruraux participent à rendre notre Commune encore plus attrayante.
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| Histoire | ||
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Homines de CAMBONO-RIGAUDI, 1345, cartulaire de la seigneurie d'ALAIS, CHAMBONRIGAUD 1436, locus de CHAMBONETO-RIGAUDI, 1460, locus de CHAMBAURRIGAULT, 1694, CHAMBONRIGAUD, 1697.
CHAMBORIGAUD n'était d'abord qu'un hameau de la paroisse de Notre-Dame-de-Chausse.
il ne figure dans aucun dénombrement ancien. Au XVIIIè Siècle, c'est une paroisse du diocèse d'Uzès, doyenne de Sénéchas. On rencontre sur plusieurs points de cette Commune des traces d'une voie romaine.
Chamborigaud fût pris par Saint-André, capitaine du Duc de Rohan, en 1629. Les habitants se rendirent célèbres dans les guerres des Camisards en faisant partie de cette troupe de dévastateurs, connus sous le nom de FLORENTINS (une bande de catholiques de Saint Florent et des villages voisins), qui se livrèrent à des cruautés et à des barabaries qu'ils couvrirent vainement du manteau de la religion et du nom de représailles envers les Camisards.
Trois grottes d'accés difficile à quelque distance des habitations : "la bâoumo Fernando" servirent de refuge pendant les guerres civiles.
En 1703, Chamborigaud fût mis à feu et à sang et tout le canton impitoyablement ravagé pendant plusieurs jours, JOHANY Nicolas de Génolhac, chef des Camisards en Lozère, avait été mis dans l'obligation d'évacuer Génolhac suivi par les protestants, le 13 février 1703 par le Colonel MASSILY à la tête de 400 soldats.
Ils se réfugièrent dans les montagnes de Vialas et descendirent le 17, où, en représailles, ils saccagèrent les biens catholiques.
HISTORIQUE DU VIADUC
En quittant la gare de Chamborigaud, le chemin s'infléchit à droite et aussitôt le Viaduc apparaît dans sa gracieuse majesté.
Le Viaduc du Luech est fort long : 384 mètres de longueur, en courbe de 200 de rayon. Il comporte 41 arches et domine la rivière de 46 mètres.
Il fut construit en 19 mois, du 1er octobre 1865 au 1er mai 1867, par un effectif de 200 ouvriers.
Atteint par une bombe le 19 août 1944, la cinquième arche fût endommagée.
Le prix de cet ouvrage atteignit 570 000 F or ; le cubage total de maçonnerie de toute nature de cet édifice est de 18 206 m3.
Depuis les années 1840, la Société des Mines de Portes et Sénéchas évacuait la houille extraite de sa concession de La Vernarède. Lorsque le principe de la construction du Brioude-Alès fût acquis, la société demanda la concession d'une voie ferrée reliant le concours du Paris-Lyon-Marseille, pour la construction et l'exploitation de cette voie ferrée.
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| Vie locale | ||
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| Quelque part en France 2002-2008 |
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