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le lieu est doté d'une châtellenie vers 1280, à l'époque de la croisade des albigeois, le fief étant tenu par la famille d'Ysalguier, puis des Baulat de Baulac. Pendant les guerres de religion, Trébons se range du côté ligueur ce qui lui vaut de subir l'assaut des Protestants installés à Maurémont. Sous la Révolution, le château est à nouveau brûlé et le châtelain Blanquet de Rouville est guillotiné dans la dernière charrette de la Terreur. En 1846 Trébons fusionne avec la commune d'Esquilles.
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